Vertu révélatrice de la couleur blanche
De retour encore à Perdigny, laissée la veille sous les flocons, j'en retrouve les rues blanchies. Quittant un instant le bout de mes semelles, au risque d'une glissade possiblement périlleuse, je découvre à ma droite une belle maison, blanche sous son toit blanc, jamais aperçue depuis tant de mois.
En remontant les rues, les hauteurs de la ville m'apparaissent avec un air de village de montagne. Quelque chose de suisse. Ou de savoyard, pourquoi pas ?
Bien sûr, et même si la neige parvient à tenir, l'impression idyllique ne durera pas.
27 janvier 2004
11 janvier 2004
Juste pour dire...
...et pour rassurer Pralinette...
Ce n'est pas parce que je fais dans le post court et rare que je suis en voie d'extinction.
Les gens, il conviendrait de ne les connaître que disponibles
A certaines heures pâles de la nuit
Près d'une machine à sous, avec des problèmes d'hommes simplement
Des problèmes de mélancolie
Alors, on boit un verre, en regardant loin derrière la glace du comptoir
Et l'on se dit qu'il est bien tard...
(Léo Ferré)
...et pour rassurer Pralinette...
Ce n'est pas parce que je fais dans le post court et rare que je suis en voie d'extinction.
Les gens, il conviendrait de ne les connaître que disponibles
A certaines heures pâles de la nuit
Près d'une machine à sous, avec des problèmes d'hommes simplement
Des problèmes de mélancolie
Alors, on boit un verre, en regardant loin derrière la glace du comptoir
Et l'on se dit qu'il est bien tard...
(Léo Ferré)
08 janvier 2004
06 janvier 2004
05 janvier 2004
Il y a un an...
le 4 janvier 2003,
ouvrait le Bal.
Si tu reviens jamais danser
Chez Temporel, un jour ou l'autre,
Pense à ceux qui tous ont laissé
Leurs noms gravés auprès des nôtres.
Souviens-toi : quand tu l'as choisie
Pour tourner la valse en mineur,
La bonne chance enfin saisie,
Deux initiales dans un cœur.
Pense à ta jeunesse gâchée,
Sans t'en douter, au fil des jours,
Pense à l'image tant cherchée
Qui garderait son vrai contour.
Des robes aux couleurs de valse
Il n'est demeuré qu'un reflet
Sur le tain écaillé des glaces,
Des chansons - à peine un couplet
Mais c'est assez pour que renaisse
Ce qu'alors nous avons aimé
Et pour que tu te reconnaisses
Dans ce petit bal mal famé
Avec d'autres qui sont partis
Vers le meilleur ou vers le pire,
Avec celle qui t'a souri
Et dit les mots qu'il fallait dire.
Oui, si tu retournes danser
Chez Temporel un jour ou l'autre,
Pense aux bonheurs qui sont passés
Là, simplement, comme les nôtres.
le 4 janvier 2003,
ouvrait le Bal.
Si tu reviens jamais danser
Chez Temporel, un jour ou l'autre,
Pense à ceux qui tous ont laissé
Leurs noms gravés auprès des nôtres.
Souviens-toi : quand tu l'as choisie
Pour tourner la valse en mineur,
La bonne chance enfin saisie,
Deux initiales dans un cœur.
Pense à ta jeunesse gâchée,
Sans t'en douter, au fil des jours,
Pense à l'image tant cherchée
Qui garderait son vrai contour.
Des robes aux couleurs de valse
Il n'est demeuré qu'un reflet
Sur le tain écaillé des glaces,
Des chansons - à peine un couplet
Mais c'est assez pour que renaisse
Ce qu'alors nous avons aimé
Et pour que tu te reconnaisses
Dans ce petit bal mal famé
Avec d'autres qui sont partis
Vers le meilleur ou vers le pire,
Avec celle qui t'a souri
Et dit les mots qu'il fallait dire.
Oui, si tu retournes danser
Chez Temporel un jour ou l'autre,
Pense aux bonheurs qui sont passés
Là, simplement, comme les nôtres.