Cinq ans déjà...
Et tout de même quelques traces laissées derrière.
04 janvier 2008
05 mars 2007
01 février 2007
Bis repetita
Je m'en reviens, une fois de plus, des terres de la vache noire, qui rumine et m'envoie paître.
Je m'en reviens, une fois de plus, des terres de la vache noire, qui rumine et m'envoie paître.
21 janvier 2007
L'histoire de Bernard
"Les gars parlaient du syndicat
ou des matches de football
ou bien ils parlaient d'leur famille
et des projets de vacances
Quand ils parlaient des femmes
j'entendais leurs rires énormes
qui découpaient l'atmosphère
enfumée de gauloises"
C'est fou comme une phrase simple écrite au passé convoque immédiatement la nostalgie.
On ne parle plus guère du syndicat (surtout au singulier), très peu des femmes - et on n'en rit plus. Quant à l'atmosphère enfumée, elle a vécu - chez les gens propres et bien élevés que nous sommes.
Tout fout le camp, donc (sauf le football et les vacances - et encore !). Mais ce n'est pas d'aujourd'hui : Charlélie Couture écrivait ça il y a vingt ans.
"Les gars parlaient du syndicat
ou des matches de football
ou bien ils parlaient d'leur famille
et des projets de vacances
Quand ils parlaient des femmes
j'entendais leurs rires énormes
qui découpaient l'atmosphère
enfumée de gauloises"
C'est fou comme une phrase simple écrite au passé convoque immédiatement la nostalgie.
On ne parle plus guère du syndicat (surtout au singulier), très peu des femmes - et on n'en rit plus. Quant à l'atmosphère enfumée, elle a vécu - chez les gens propres et bien élevés que nous sommes.
Tout fout le camp, donc (sauf le football et les vacances - et encore !). Mais ce n'est pas d'aujourd'hui : Charlélie Couture écrivait ça il y a vingt ans.