Quatre et quatre et quatre
Depuis mes premières lignes postées ici, quatre années, quatre jours et quatre heures se sont écoulés. Depuis ma dernière venue, pas mal de temps aussi.
Le monde a changé et j'imagine que l'environnement d'alors, cette "blogosphère" encore petite, n'est plus.
J'avais déjà écrit sur ces blogs délaissés, que chacun, peu à peu, se lassait de scruter, n'ayant plus l'espoir d'y voir quelque mouvement. Pourtant, après deux ans presque d'absence, j'ai envie de revenir, de retrouver quelques ombres peut-être - et d'écrire.
Il m'a fallu faire un peu de ménage, supprimer les quelque deux mille messages qui attendaient dans la boîte aux lettres de ce Temporel que je redeviens.
Messages insensés : je ne croyais pas connaître autant de Deborah, je n'imaginais pas que l'on me proposerait un jour autant de montres de luxe, que l'on m'inviterait au casino, que mon pénis pourrait devenir plus grand, plus large, plus dur, plus mieux, que je gagnerais tant de millions, de milliards en aidant un milliardaire corrompu ou incompris, en investissant dans le pétrole, en travaillant à domicile, en regardant des filles sur mon écran...
Parmi toutes ces belles propositions, un message seulement que j'ai sauvé : d'un qui a lu ces pages et s'imagine un lointain parent.
Aujourd'hui, de nouveau, douze messages, des vœux de je ne sais qui, des images de je ne sais quoi.
Qu'importe, je suis revenu.
2 commentaires:
CA ALORS, tu es de retour ! Je suis passée plein de fois par ici, et encore dernièrement !
Contente de te relire, tous mes voeux pour cette nouvelle année et ce re-démarrage dans la blogosphère.
Amicalement.
Merci Pralinette. Bien content que tu n'aies pas disparu.
Je rentre à la maison et compte bien y rester.
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