16 février 2003

La vie, c'est comme les asperges
Quand on mange une asperge, souvent, on se contente de la tête, d'un peu du corps (dit-on un corps d'asperge ?) et on laisse le bas (qui est en haut si on est allongé quand on mange).
Eh bien, dans la vie c'est pareil. Il faut parfois ne déguster que les soirées, quand les journées sont dures, ou amères, ou fades.
Hier, j'ai mangé avec plaisir mon 17h30-0h30 (une asperge à deux têtes, en fait).
A vrai dire, j'exagère un peu, le reste était bon aussi. D'ailleurs il y a des asperges qu'on mange entièrement.

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