29 janvier 2003

Nobody's perfect (except me)
La perfection, vous connaissez ? Moi non plus, en tout cas je la pratique rarement.
Mais ce soir, je l'ai entendue, avec l'Orchestre philharmonique de Monte-Carlo dirigé par Marek Janowski. Ce chef d'orchestre, que j'ai vu des dizaines et des dizaines de fois quand il dirigeait l'Orchestre philharmonique de Radio France, sait tirer tout ce qu'il est possible d'un orchestre. Et puis passer comme il l'a fait de Brahms (Quatrième Symphonie) à Fauré (Pelléas et Mélisande), c'est naviguer d'un univers à un autre, ce que les musiciens ont fait en toute simplicité.

28 janvier 2003

Oh, le beau pavé !
Une envie d'écrire m'a pris, apparemment...
Rétrovision
Depuis quelque temps, Temporel me semble quelque peu essoufflé. Ses deux derniers envois ne laissent d'ailleurs guère de doute sur son état d'esprit des derniers jours. Que s'est-il donc passé ?
Il y a quelques semaines, c'était le 4 janvier, je me lançai dans l'écriture d'un blog. Les vacances, une période d'enthousiasme inconsidéré : il n'en fallait pas plus pour me décider. Mais les vacances ont une fin et mes périodes d'enthousiasme aussi. Il faut donc accepter que je n'ai parfois rien à dire ou rien envie de dire.
Pourtant ce blog m'aide un peu. Il me pousse à observer peut-être davantage, histoire d'avoir quelque chose à raconter à mes lecteurs (qui sont plus nombreux quand j'ai fait des envois récents), quitte à déformer un peu les événements pour mieux les faire entrer ici.
La Miss a sans doute raison : je ne crois pas qu'il y ait beaucoup de blogs qui soient des tissus de mensonges, mais nous ne sommes pas pour autant des sismographes et nous choisissons ce que nous voulons dire et comment nous voulons le dire. Certaines choses nous semblent inessentielles, nous les abandonnons ou nous les maquillons.
"Les gens que je côtoie, et même, mes amis très proches, je n’ai pas envie qu’ils connaissent toutes mes facettes". Bien sûr, Martial, et sur nos blogs on distribue ce que l'on veut, un peu comme dans la vie, d'ailleurs.

Et maintenant, voilà qui illustrera mon propos ci-dessus.
La semaine passée, commencée dans une joie simple et assez discrète, s'est achevée dans les tensions, les interrogations ; pour un peu il y aurait même eu des pleurs.
Que dire de ces événements singuliers qui se télescopent ? De cette lettre reçue vendredi, alors que je ne l'attendais plus vraiment (sans me décider cependant à tourner cette page de ma vie) et qui me fais espérer tout en me donnant des nouvelles tristes. Mais le soir même, un autre message m'arrivait, que j'attendais encore moins et qui lui m'offrait un avenir, un amour que j'ai évidemment refusés.
Dira-t-on que ça se compense : un bonheur qui m'est refusé et un que je refuse ?

Pour le week-end, retour à Breuil-le-Calme, à ma province quasi-natale, par le train et les paysages que je connais si bien maintenant. Journée un peu gâchée d'abord par quelques occasions manquées (en tous genres, je ne développe pas) et une bonne partie de l'après-midi passée à attendre (un train ?) à la Gare du Nord. C'est fou, la Gare du Nord, tous ces gens qui attendent, le regard fixé une demi-heure à l'avance sur le tableau des trains au départ ; ceux (peu nombreux) qui guettent l'arrivée d'un parent, d'un ami venu de Saint-Quentin, de Lille ou de Cologne ; ceux qui sont perdus ; ceux qui courent pour attraper leur train et que l'on revoit passer en marchant quand ils l'ont raté ; ceux qui traînent, qui vont et viennent ; ceux qui vont boire une bière quand le temps commence à leur sembler long (vous m'avez reconnu ? vraiment ?).
Bref. Arrivée à Breuil-le-Calme et un quart d'heure plus tard, le volant entre les mains, cap sur le but de mon voyage : la fête à laquelle m'a convié le seul rescapé de mes copains d'enfance.
Le rôle des fêtes, c'est bien de faire oublier qu'on est fatigué, que la vie n'est pas toujours aussi belle qu'on l'imagine en rêve, que la vie est triste même parfois ? Eh bien, celle-là, elle était réussie. A quatre heures, il n'y avait plus de fatigue, il n'y avait plus de tristesses, il n'y avait que des rires.
Retour ensuite à Breuil-le-Calme, par les brumes de Rousseauville et du Plessis-Nerval.
Retour hier à Paris, par le train, après une halte dans ce petit café près de la gare, où je venais avant, le samedi, en descendant du premier train. Rien n'a changé depuis trois ans que je n'y avais plus mis les pieds (bien que je sois passé devant plus d'une fois). Si, maintenant on paye en euros.
Rien n'a changé, surtout pas le patron et la patronne. Un peu vieillis bien sûr, à tel point que, plus que jamais ils semblent sortis d'ailleurs. Nous ne nous sommes jamais beaucoup parlé, d'ailleurs aux heures où je passe ils prennent eux aussi leur petit-déjeuner, assis à la table du fond, se levant, tantôt l'un tantôt l'autre, pour servir les nouveaux venus ou rendre la monnaie.
Les cartes postales, qui montrent le café lui-même (il y a vingt ans, trente ans, quarante ?) sont toujours en vente sur le comptoir, les horloges paraissent avoir toujours marqué la même heure, le thermomètre-baromètre-hygromètre (bien haut ce jour) est toujours à sa place, près de la double porte battante du restaurant.
Finalement, je ne sais pas si ce genre de retrouvailles me vieillit ou me rajeunit.
Arrivée à Paris. Je reconnais le célèbre monument métallique. Je suis chez moi.

23 janvier 2003

Tournenrond
Je continue de passer par les blogs, au moins la petite vingtaine que j'aime visiter. Mais je n'y trouve rien qui me sourie. Décidément, ma sensibilité semble bien atteinte.

En panne
Le temps y serait-il pour quelque chose ? Avant-hier encore, j'étais d'une humeur parfaite, tout me semblait simple et je croyais voir tout le monde (me) sourire.
Depuis, les journées se traînent d'une façon misérable.
Je n'arrive plus à rien dire (on s'en était aperçu, n'est-ce pas ?).
Je ne vois rien, mes yeux sont comme fermés. Mais je ne dors plus. Enfin, plus vraiment : deux heures, trois heures. J'essaie de faire quelques mouvements, je m'affale, abruti, sans rêves ni pensées. Incapable d'autre chose que d'espérer que tout se passe bien.
J'ai l'impression qu'autour de moi on commence à compatir un peu. Je commence à parler : j'assomme ; j'essaie de réfléchir : je tourne en rond (mentalement : physiquement je ne peux déjà plus).
Et ces journées à Perdigny qui n'en finissent pas.
Puis, en rentrant, ici, une lettre qui confirme ce qui n'était même pas un pressentiment.
Le sens de tout m'échappe. Et malgré cela, je ne me sens même pas triste ou déprimé. Simplement vide.

21 janvier 2003

Tiens, voilà le printemps !
C'est marrant : il y a quelques jours il neigeait et tout le monde s'est exclamé, sautant de joie et inondant les blogs de photos de toits blancs.
Aujourd'hui, il a fait beau, on se serait cru au printemps ; au lycée de Perdigny, les élèves étaient de bonne humeur, les profs aussi ; et tout le monde s'en fout.
C'est pas beau le printemps ?

20 janvier 2003

La vie est attirante, parfois
Se lever avec la pluie. Voir arriver les nuages, les voir disparaître.
Aller à la rencontre d'un ami.
Parler, écouter. Ecouter surtout, l'ami et le reste.
Aller où ce fut un abattoir, aujourd'hui un jardin.
Arpenter, mais au sens figuré seulement.
Retrouver la ville.

Mais même un beau dimanche n'explique pas huit jours de silence.
Vraiment ? Qui sait ?

12 janvier 2003

Lu...
Lu sur l'affiche du Seigneur des Anneaux, le commentaire d'un journal à la con : "Le rêve promu réalité".
Comme si la réalité c'était une promotion...
Les Skyblogs, on s'en fout !
Z'êtes pas d'accord ?
Evening Mood
Pas grand'chose à raconter une fois de plus, sinon que la journée a été agréable.
J'ai compris comment insérer des images sur mon blog (voir ci-dessous) et j'en ai profité pour commencer à réfléchir sur quelques portes de sortie (ou d'entrée, en fait, ça dépend du sens).
Je me suis promené, histoire de faire prendre l'air à mon appareil photo (pour les deux pauvres clichés que j'ai pris, il aurait pu continuer à roupiller sur la cheminée) et je crois que j'ai pris un petit coup de froid qui va me donner une belle voix rauque pendant quelques jours.
Et là, je sirote un blanc d'Alsace (tokay pinot gris, siouplé) en écoutant The Crazy World of Arthur Brown. Paisible.
Accrochage
Et si je mettais quelques tableaux aux murs, ça serait peut-être pas mal ?

Temporel ?

Chantier (ouvert au public)
Le samedi, c'est le jour où je dors. Donc pas de blog le samedi. Ce n'est pas une loi absolue, mais au moins hier je l'ai respectée.
Le dimanche, quand il fait beau, c'est le jour où je me promène. Donc pas de blog pour le moment. Mais ce soir sans doute...
Et puis, je pense bien que ce "Bal chez Temporel", il vous paraît un peu tristounet, quand je voudrais y faire revivre le temps des guinguettes et des jeunes belles aux yeux verts qui y venaient danser, souriant dans les vapeurs d'alcool et l'air frais que faisait au matin filtrer l'aube par la porte entrouverte. C'était hier, ce sera demain.
C'est un bal sans musique, sans danseurs, sans rien. Pour l'instant. Quelques-uns, quelques-unes sont assises là, sur les bancs qui entourent la salle. (Mais le plancher n'est pas posé ou, vermoulu, il est encore éventré.) Leurs yeux sont vides, il n'y a pas d'images, ni de leur passé réinventé joyeux ni des lendemains.
J'y travaille, j'accroche mes lampions. Il n'est pas dit que l'hiver passera sans un air d'accordéon, une valse ou un bon rock'n roll.



09 janvier 2003

A quoi bon s'épuiser ?
Trois jours de boulot et je suis déjà HS. Demain, je me lève tôt (vers 3 ou 4 h serait pas mal, vu le travail qui me reste à faire) et la journée sera longue. Je n'écrirai donc pas une ligne de plus.

08 janvier 2003

La nuit, je rêve
La nuit dernière, j'ai rêvé qu'Anna Maria Ortese me dédicaçait un livre. Seulement, c'était un homme (et même avec une barbe, je crois, mais je ne suis plus sûr). Et de toute façon elle est morte. D'ailleurs, je n'ai jamais rien lu d'Anna Maria Ortese.
Mais je vais m'y mettre.
Et puis j'ai rêvé de ma petite soeur et du Capitaine Haddock et je suis étonné que ça vous intéresse.

07 janvier 2003

On a les habitudes qu'on mérite
Pour faire écho aux interrogations d'Akelia du 5 janvier.
Après 17 jours de vacances, je reprends le métro et instantanément je redeviens le mouton somnambule qui sait quand arrive sa station de correspondance et qui s'installe à "sa" place dans le train, celle qui l'amène devant l'escalier de sa gare de sortie.
Le métro, c'est bien quand on le prend pour le plaisir : ça ne vous est jamais arrivé de vouloir aller à Corentin Celton, juste pour voir comment c'est ?

La valse de l'autobus
C'est bien connu, le train est le lieu de toutes les rencontres ; et le métro celui du plaisir insolite.
D'ailleurs, Aragon chantait bien :

Bordel pour bordel
Moi j'aime mieux le métro
C'est plus gai
Et puis c'est plus chaud


Mais on méconnaît les charmes de l'autobus. J'aime l'autobus. Qu'est-ce qui pourrait remplacer les soubresauts d'un 27 sur les pavés qu'à conservé le XIIIe arrondissement ? Comment oublier un départ du Luxembourg dans le premier 82 du dimanche ? Et d'avoir guetté la Vache noire d'Arcueil depuis un 323 en plein après-midi ne peut laisser quiconque intact.
J'ai vu partir les derniers SC-10 (ah oui, m'sieur, j'm'y connais en autobus) qui brinquebalaient au long de la ligne 48 (ah ! les courses à toute vibure vers la Gare du Nord par un matin d'hiver).
On peut aussi prendre le bus juste par intérêt, pour aller d'un point à un autre. Il faut d'ailleurs de savants calculs pour que la solution d'un 69 intégral (un Gambetta-Champ de Mars donc) s'impose comme évidente - mais ça arrive.
Je traversai hier Paris quand deux filles sont montées à un arrêt des beaux quartiers (bah oui, je traverse les beaux quartiers). Joyeuses, avec l'hystérie qui convient aux indigènes, elles se sont installées au fond du bus (je me souviens que les "durs" du collège squattaient toujours le fond du car) d'où elles n'ont cessé de chanter, relativement juste et fort. Un peu inattendu. C'est moins rare dans le métro où ça accordéonise à tout va. Et je me souviens qu'un type avec un gros nez (vermillon) jouait de l'harmonica à la station Brochant. Il doit être mort, depuis.
Donc les donzelles des faubourgs chics se sont lancées dans un duo sur La Valse a mille temps de Brel. Oh, ça sentait un peu la chorale du couvent mais comme l'une des deux chantait quand même beaucoup moins juste, ça faisait un petit décalage amusant.
Selon l'humeur du jour, j'aurais pu avoir une franche envie de leur foutre une torgnole à ces pisseuses (connaissez de Gainsbourg Five easy Pisseuses ?). Mais là, ça m'a plu. Beaucoup moins quand elles ont attaqué Ta Katie t'a quitté : Bobby Lapointe s'accommode assez mal des vocalises demi-mondaines.
Elles sont descendues à saint-Sulpice.
Plus tard (comme dirait Queneau), et d'est en ouest, une petite scène. Sans doute fourbue de son passage au Bon Marché, une dame "bien" (une Mamie Nova parlant finances) a réclamé, usant de son bon droit, une place assise. Pourquoi pas ? Mais il ne me semble pas nécessaire d'exhiber simultanément sa carte de vioque. La femme qui lui a laissé sa place (dois-je ajouter qu'elle était la moins blanche du bus ?) est allée chercher en boîtillant une place à l'arrière. Bien sûr, Mamie Nova n'en a rien vu, occupée qu'elle était de parler de ses propriétés (je ne sais plus où : côte d'Azur, Suisse, peu importe). Elle, elle était chez elle.
Cela dit, le bus, parfois, c'est bien.

06 janvier 2003

Pour en finir avec la neige
Non, finalement, je n'ai vraiment pas le temps d'écrire ce que j'avais prévu, mais juste une remarque.
Selon qu'ils sont orientés au nord ou au sud, les toits de Paris ont gardé ou perdu leur manteau de neige (oui, cette métaphore-là, elle n'est pas nouvelle, je sais). Idem pour les bâtiments inhabités et donc peu chauffés qui demeurent blancs, comme par exemple le Grand Palais. Il reste dans Paris quelques îlots de blancheur.
Ce sont un peu nos neiges éternelles.
Page blanche ?
Je ne pensais pas envoyer grand'chose ce soir. Je n'en ai pas le temps, j'ai bien d'autres choses à faire et surtout j'ai l'esprit ailleurs. Ailleurs et pas tout à fait tranquille. Demain, c'est la rentrée (la mienne, en tout cas) et ça sera sans doute difficile. Enfin, je l'ai un peu cherché et il est de toute façon un peu tard pour s'inquiéter.
Et encore, comme je le disais hier - et aujourd'hui j'insiste encore un peu - je ne travaille pas le lundi. Ce qui me permet de ricaner quand, allongé sous ma couette, j'entends les voisins quitter l'immeuble. Il fait encore nuit et j'imagine sans peine le petit nuage que produit leur souffle court et las devant leurs yeux ensommeillés.
Mais bon, demain c'est mon tour.
Je ne pensais pas envoyer grand'chose ce soir mais comme la vie continue et que j'ai envie de raconter ce que j'en vois, je vais quand même me fendre d'un nouvel envoi, juste après celui-ci, au moins pour ceux et celles qui reviennent d'une longue journée de travail, pour ceux et celles aussi qui, malades, ont passé leur journée à attendre que les blogs reprennent vie.
A tout à l'heure donc.

05 janvier 2003

Paris la blanche
Je rentre d'une petite promenade dans un Paris où les toits sont encore bien blancs. Et le Pont des Arts, et la passerelle Solférino, donc ! Dommage pour vous, lecteurs, je n'ai pas pris de photos (le Champ de Mars, le Musée Rodin ou les quais inondés, bordés de bouquinistes emmitouflés l'auraient mérité, pourtant).
Au passage, j'espérais pouvoir répondre à l'énigme de la photo d'Asa. Je n'ai pas trouvé pour l'instant mais je garde espoir... Enfin, je gardais espoir jusqu'à ce que je comprenne que la réponse avait été traîtreusement trouvée par Zecoop, qui a cependant de saines occupations (mais un site inaccessible).


Prendre le large
Je viens d'être attiré par un blog ou plus exactement par un journal de bord au nom un peu pompeux (Chroniques de l'estran) mais joli, comme tous les mots marins.
(Pour ceux qui ne savent pas ce qu'est l'estran, c'est l'occasion de se renseigner. Allez-y voir, j'insiste).
Autre mot marin, les Mascarets, qui ont donné son titre à un superbe recueil d'André Pieyre de Mandiargues.

Et puis, pour finir, cette belle maxime à méditer : "C'est encore dans la marine qu'il y a le plus de marins".
Changer de rythme
Je crois bien que j'avais demandé à mon réveil de sonner à une heure particulièrement matinale. De deux choses l'une : soit il dormait comme moi à poings fermés, soit je l'ai fait taire sans même prendre la peine de quitter mes rêves.
C'est dimanche, je sais, mais avec tout le boulot que je n'ai pas fait pendant deux semaines (puisque je préférais me promener par les rues et les blogs) et ce blog à qui je dois apprendre à marcher (clin d'oeil* à Fabienne), ça me promet une journée chargée. Pour peu que je m'y mette. Après mon petit déjeuner. Et ma douche. Et l'écoute d'un disque ou deux. En lisant L'Epicerie d'enfance de Jean Follain. Ou autre chose.
De toute façon, je ne travaille pas lundi.

(*) oui, pour un clin d'oeil, on peut aussi prendre un petit bonhomme jaune qui cligne de l'oeil. Je sais, mais je n'arrive pas à m'y faire, c'est comme les abréviations. J'aime écrire les mots lettre après lettre.

04 janvier 2003

Y a quoi dans c'blog ?
Bien sûr, je raconterai des tas de choses intéressantes ici.
Patience...
En regardant tomber les flocons
Pour un début, ce n'est pas si mal. J'ai réussi à intégrer une zone de commentaires (un "feedback", ça s'appelle) et j'ai passé près d'une heure à changer des polices. Tant que ça reste du bricolage, l'informatique est à ma portée.
Maintenant, il ne me reste plus qu'à envoyer quelques faire-part : "Le Bal chez Temporel est ouvert".
Me voici donc blogger. Et finalement, ce ne fut pas bien compliqué. Me voici blogger et je ne connaissais pas même ce mot à Noël. Depuis, en vadrouille sur internet, j'ai découvert ce monde un peu curieux.
Je remercie Asa qui ne me connaît pas (que je ne connais pas plus) et cependant m'a fait découvrir le blog (sans le vouloir bien sûr), et aussi Nacara, la première à m'avoir répondu quand je lui ai écrit ; et Cassandra, qui a inséré et commenté l'un de mes commentaires.
Le plus dur reste maintenant à faire : me présenter, dire quelque chose, communiquer (tout ce que j'aime !) et continuer à le faire longtemps, tous les jours.
Alors, vous tous, un peu de patience et de bienveillance : je débute.

Temporel vous invite à son bal.