Pour ceux qui...
... viennent de chez le Doc' Tomorrow, mes Mercredix sont par là.
26 février 2003
19 février 2003
18 février 2003
17 février 2003
Réclame
A quoi ça sert que je m'esquinte le prose à ouvrir un second blog si personne n'y daigne faire un détour ? Je sais bien que les Mercredix, Jeopardix et autres, vous en mangez tous plus que de raison, mais j'étais content de mes réponses à des questions 5 et 8.
Je veux pas vous forcer mais vous pourriez faire un effort.
A quoi ça sert que je m'esquinte le prose à ouvrir un second blog si personne n'y daigne faire un détour ? Je sais bien que les Mercredix, Jeopardix et autres, vous en mangez tous plus que de raison, mais j'étais content de mes réponses à des questions 5 et 8.
Je veux pas vous forcer mais vous pourriez faire un effort.
16 février 2003
Comment téléphoner facilement
1) Chercher où l'on a écrit le numéro de téléphone. Si ce n'est pas dans sa mémoire interne (qui ne peut retenir que 219 numéros différents ; manque de bol, c'est le deux cent-vingtième), ça peut prendre plusieurs heures (dans le petit carnet à spirales promotionnel qui n'a presque plus de feuilles et qui comprend, outre quelques numéros de téléphone - certains sans nom associé (c'est malin) -, des notes prises au cours de voyages ferroviaires, des citations du journal de Julien Green et quelques autres souvenirs n'émouvant que moi ; sur un post-it [lequel !?] ; sur une feuille A4 d'apparence anodine ; au dos d'une enveloppe des services financiers de La Poste ; enfin (je viens de le retrouver) sur le listing édité il y a 3 ou 4 ans, vaguement complété depuis).
2) Composer le numéro.
3) S'apercevoir que ce n'est plus le bon.
4) Reprendre les recherches.
5) Les arrêter, parce que c'est chiant et pour mettre un disque de Masada (ça stimule).
6) Se refaire un café ; ça ne fait pas remarcher la mémoire mais ça réveille (paraît-il).
7) Boire le café avant qu'il ne soit froid. (Donc, arrêter les recherches.)
8) Envoyer des trucs sur son blog (puisque le PC est allumé...).
9) [à venir] Allumer l'antiquité (PC portable) et ouvrir Organizer 1.0 en espérant qu'une ultime mise à jour fût faite en son temps. On peut en douter.
10) [à venir] Attendre que le destinataire de l'appel se décide à appeler. Sinon tant pis.
1) Chercher où l'on a écrit le numéro de téléphone. Si ce n'est pas dans sa mémoire interne (qui ne peut retenir que 219 numéros différents ; manque de bol, c'est le deux cent-vingtième), ça peut prendre plusieurs heures (dans le petit carnet à spirales promotionnel qui n'a presque plus de feuilles et qui comprend, outre quelques numéros de téléphone - certains sans nom associé (c'est malin) -, des notes prises au cours de voyages ferroviaires, des citations du journal de Julien Green et quelques autres souvenirs n'émouvant que moi ; sur un post-it [lequel !?] ; sur une feuille A4 d'apparence anodine ; au dos d'une enveloppe des services financiers de La Poste ; enfin (je viens de le retrouver) sur le listing édité il y a 3 ou 4 ans, vaguement complété depuis).
2) Composer le numéro.
3) S'apercevoir que ce n'est plus le bon.
4) Reprendre les recherches.
5) Les arrêter, parce que c'est chiant et pour mettre un disque de Masada (ça stimule).
6) Se refaire un café ; ça ne fait pas remarcher la mémoire mais ça réveille (paraît-il).
7) Boire le café avant qu'il ne soit froid. (Donc, arrêter les recherches.)
8) Envoyer des trucs sur son blog (puisque le PC est allumé...).
9) [à venir] Allumer l'antiquité (PC portable) et ouvrir Organizer 1.0 en espérant qu'une ultime mise à jour fût faite en son temps. On peut en douter.
10) [à venir] Attendre que le destinataire de l'appel se décide à appeler. Sinon tant pis.
La vie, c'est comme les asperges
Quand on mange une asperge, souvent, on se contente de la tête, d'un peu du corps (dit-on un corps d'asperge ?) et on laisse le bas (qui est en haut si on est allongé quand on mange).
Eh bien, dans la vie c'est pareil. Il faut parfois ne déguster que les soirées, quand les journées sont dures, ou amères, ou fades.
Hier, j'ai mangé avec plaisir mon 17h30-0h30 (une asperge à deux têtes, en fait).
A vrai dire, j'exagère un peu, le reste était bon aussi. D'ailleurs il y a des asperges qu'on mange entièrement.
Quand on mange une asperge, souvent, on se contente de la tête, d'un peu du corps (dit-on un corps d'asperge ?) et on laisse le bas (qui est en haut si on est allongé quand on mange).
Eh bien, dans la vie c'est pareil. Il faut parfois ne déguster que les soirées, quand les journées sont dures, ou amères, ou fades.
Hier, j'ai mangé avec plaisir mon 17h30-0h30 (une asperge à deux têtes, en fait).
A vrai dire, j'exagère un peu, le reste était bon aussi. D'ailleurs il y a des asperges qu'on mange entièrement.
15 février 2003
... pas la guerre
Puisque j'en suis aux paroles de chansons,
et pour faire écho à celles qu'a postées La Miss.
Peace
Peace is a word
Of the sea and the wind.
Peace is a bird who sings
As you smile.
Peace is the love
Of a foe as a friend ;
Peace is the love you bring
To a child.
Searching for me
You look everywhere,
Except beside you.
Searching for you
You look everywhere,
But not inside you.
Peace is a stream
From the heart of a man ;
Peace is a man, whose breath
Is the dawn.
Peace is a dawn
On a day without end ;
Peace is the end, like death
Of the war.
Paroles : Peter Sinfield, musique de Robert Fripp
Puisque j'en suis aux paroles de chansons,
et pour faire écho à celles qu'a postées La Miss.
Peace
Peace is a word
Of the sea and the wind.
Peace is a bird who sings
As you smile.
Peace is the love
Of a foe as a friend ;
Peace is the love you bring
To a child.
Searching for me
You look everywhere,
Except beside you.
Searching for you
You look everywhere,
But not inside you.
Peace is a stream
From the heart of a man ;
Peace is a man, whose breath
Is the dawn.
Peace is a dawn
On a day without end ;
Peace is the end, like death
Of the war.
Paroles : Peter Sinfield, musique de Robert Fripp
Spécial St Valentin
Un peu de réconfort pour ceux qui ont passé seul(e) la journée d'hier et se sont couché tôt.
Loneliest Person
You might be the loneliest person in the world
You'll never be as lonely as me
Yes you might be the loneliest person in the world
You'll never be as lonely as me.
All the sky it seems dark
As I'm walking through a park
But the face it is too bright for me
Or the sun might rise high
On an orange kind of sky
But the day it seems too dark for me.
Yes you might be the loneliest person in the world
You'll never be as lonely as me
Yes you might be the loneliest person in the world
Your name it would have to be me.
Paroles : Phil May, musique par The Pretty Things
Un peu de réconfort pour ceux qui ont passé seul(e) la journée d'hier et se sont couché tôt.
Loneliest Person
You might be the loneliest person in the world
You'll never be as lonely as me
Yes you might be the loneliest person in the world
You'll never be as lonely as me.
All the sky it seems dark
As I'm walking through a park
But the face it is too bright for me
Or the sun might rise high
On an orange kind of sky
But the day it seems too dark for me.
Yes you might be the loneliest person in the world
You'll never be as lonely as me
Yes you might be the loneliest person in the world
Your name it would have to be me.
Paroles : Phil May, musique par The Pretty Things
14 février 2003
En attendant mieux
J'ai planté sur le seuil du jardin un Jeopardix et un Mercredix, respectivement made in Bidibi et made in Tomorrow.
J'ai planté sur le seuil du jardin un Jeopardix et un Mercredix, respectivement made in Bidibi et made in Tomorrow.
13 février 2003
08 février 2003
02 février 2003
Printemps, hiver : même combat
Il y a quelque temps, le printemps est venu nous faire un clin d'oeil. En plein hiver. Je fus le seul à le célébrer quand tout le monde regrettait les p'tits flocons.
Léa est depuis venue me dire combien la neige, par chez nous, est attendue et combien elle émerveille. Je suis d'accord avec toi, Léa, et je suis le premier (ou au pire le deuxième) à m'extasier sur un ciel floconneux à souhait, fût-ce sur le quai d'une gare de banlieue en attendant que les trains se décident à cesser de ne plus passer (et pendant ce temps, le vent souffle et siffle comme un blizzard bien plus que comme un zéphyr). Mais...
Mais un rayon de soleil qui vient nous caresser par surprise avant de disparaître, je trouve ça beau aussi.
J'aime que les saisons futures (et les saisons passées) viennent se rappeler à nous.
Il y a quelque temps, le printemps est venu nous faire un clin d'oeil. En plein hiver. Je fus le seul à le célébrer quand tout le monde regrettait les p'tits flocons.
Léa est depuis venue me dire combien la neige, par chez nous, est attendue et combien elle émerveille. Je suis d'accord avec toi, Léa, et je suis le premier (ou au pire le deuxième) à m'extasier sur un ciel floconneux à souhait, fût-ce sur le quai d'une gare de banlieue en attendant que les trains se décident à cesser de ne plus passer (et pendant ce temps, le vent souffle et siffle comme un blizzard bien plus que comme un zéphyr). Mais...
Mais un rayon de soleil qui vient nous caresser par surprise avant de disparaître, je trouve ça beau aussi.
J'aime que les saisons futures (et les saisons passées) viennent se rappeler à nous.
Passerelle
Je viens d'installer une passerelle (si, là, à gauche !) pour vous mener à mon seuil. A vrai dire, c'est plus un grenier qu'un seuil. J'y pose plus que j'y range ce qui n'a rien à faire dans une salle de bal.
On ne pourrait rien faire avec un tel boxon encombrant la piste.
Je viens d'installer une passerelle (si, là, à gauche !) pour vous mener à mon seuil. A vrai dire, c'est plus un grenier qu'un seuil. J'y pose plus que j'y range ce qui n'a rien à faire dans une salle de bal.
On ne pourrait rien faire avec un tel boxon encombrant la piste.